Nouvelle-Zélande

2021
2020
Rang 2 d'une enquête menée dans 80 pays
Score de l'indice mondial du tabac
30

Indicateurs

Indicateur 1 : Niveau de participation à l'élaboration des politiques
1
Indicateur 2 : Activités de responsabilité sociale des entreprises de l'industrie du tabac
3
Indicateur 3 : Avantages pour l'industrie du tabac
4
Indicateur 4 : Interaction inutile entre le gouvernement et l'industrie
2
Indicateur 5 : Mesures de transparence
5
Indicateur 6 : Prévention des conflits d'intérêts
4
Indicateur 7 : Mesures qui empêchent l'influence de l'industrie
11
Rang 5 d'après une enquête menée dans 57 pays
Score de l'indice mondial du tabac
33

Indicateurs

Indicateur 1 : Niveau de participation à l'élaboration des politiques
6
Indicateur 2 : Activités de responsabilité sociale des entreprises de l'industrie du tabac
1
Indicateur 3 : Avantages pour l'industrie du tabac
3
Indicateur 4 : Interaction inutile entre le gouvernement et l'industrie
0
Indicateur 5 : Mesures de transparence
5
Indicateur 6 : Prévention des conflits d'intérêts
5
Indicateur 7 : Mesures qui empêchent l'influence de l'industrie
13

La Nouvelle-Zélande est devenue partie à la Convention-cadre de l'OMS pour la lutte antitabac le 27 février 2005. 

Le ministère de la Santé et le service des douanes néo-zélandais rendent disponibles sur leurs sites Web des réunions publiques avec l'industrie du tabac, mais les procès-verbaux et/ou les résultats ne sont pas publiés. Aucun ensemble complet de règles n'existe pour les agents publics sur la réglementation de leurs interactions avec l'industrie. L'interaction entre les fonctionnaires, les députés et l'industrie du tabac est régie uniquement par des lignes directrices générales sur les conflits d'intérêts. Il n'y a pas non plus de politique spécifique pour interdire les contributions de l'industrie du tabac, bien que ces interactions soient régies par une réglementation anti-corruption plus large.

Le ministère de la Santé met à disposition sur son site Web les déclarations annuelles sur le tabac déposées par les fabricants et les importateurs de tabac, car les revenus de l'industrie doivent être rendus publics par la loi néo-zélandaise sur les sociétés. Cependant, en général, le gouvernement néo-zélandais ne veille pas à ce que le public ait accès à un large éventail d'informations sur les activités de l'industrie du tabac. Le gouvernement n'exige pas d'informations de l'industrie concernant les dépenses de marketing et toute autre activité, y compris le lobbying, la philanthropie, les contributions politiques et toutes les autres activités. Le gouvernement n'a pas non plus de stratégie globale ou systématique pour sensibiliser les ministères aux politiques relatives à l'article 5.3 de la CCLAT.